Découvrez les derniers résultats de l’enquête sur l’insertion professionnelle
L’enquête 2014 sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômés (promotion 2013) révèle des chiffres toujours très bons pour l’INSA de Strasbourg, globalement supérieurs à la moyenne des grandes écoles d’ingénieurs en France (enquête de la CGE 2014).
Des résultats toujours supérieurs à la moyenne des écoles d’ingénieurs, mais un marché du travail moins favorable en 2013
Le taux de placement, la part de CDI et de statut cadre ont légèrement baissé en 2014, comparativement à 2013. Une tendance observée pour l’ensemble des écoles d’ingénieurs, et malheureusement aussi pour l’INSA. Même si la conjoncture actuelle est moins favorable, l’INSA conserve de meilleurs résultats que la moyenne des écoles d’ingénieurs.
Ainsi, le taux de placement[1] à l’INSA de Strasbourg est de 90 % en 2014, contre 80 % pour les écoles membres de la CGE (en 2013 : 93 % pour l’INSA et 83 % pour les écoles de la CGE). La part de CDI est de 83 % en 2014, contre 75 % pour les écoles membres de la CGE (en 2013 : 85 % pour l’INSA, 78 % pour les écoles de la CGE). La part de statut cadre décroît mais reste supérieur à 90 % : il est de 91 % pour l’INSA de Strasbourg, contre 88 % pour les écoles de la CGE (en 2013 : 96 % à l’INSA et 91 % pour les écoles de la CGE).
La durée moyenne de recherche d’emploi se maintient autour d’un mois (0,9 mois l’année dernière). Et 37 % des diplômés décrochent leur premier emploi en Alsace, un taux supérieur à l’année dernière. 16 % travaillent à l’étranger (contre 11% des ingénieurs en général, selon les chiffres de la CGE).
Bravo les filles !
Pour la deuxième année consécutive, les femmes diplômées de l’INSA de Strasbourg ont un meilleur taux de placement que les hommes (95 % contre 89 %). Une exception parmi les écoles d’ingénieurs où l’inverse est observé avec un écart notable (77 % pour les femmes et 82 % pour les hommes). Cela s’expliquerait par le fait que les femmes sont particulièrement recherchées dans les métiers de la construction et du bâtiment.
A l’INSA de Strasbourg, les femmes trouvent aussi plus rapidement un travail (0,6 mois de durée moyenne de recherche d’emploi, contre 1,1 mois pour les hommes). Elles sont aussi légèrement plus nombreuses à continuer leurs études. En revanche, elles décrochent moins facilement un CDI (79% contre 84% pour les hommes), mais l’écart est nettement moins important que pour l’ensemble des écoles d’ingénieur.
Ils et elles cartonnent !
Enfin, notons quelques records pour les spécialités de l’INSA de Strasbourg :
- 100 % de taux de placement pour trois spécialités : génie climatique et énergétique, mécatronique et plasturgie
- 0,3 mois de recherche d’emploi pour la spécialité génie mécanique par alternance
- 100 % de CDI pour la spécialité plasturgie
- 100 % de statut cadre pour quatre spécialités : génie mécanique, mécatronique, plasturgie et génie électrique.
Voir les détails de l’enquête 2014
Sources : Enquêtes 2014 de l’INSA de Strasbourg et de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômés
[1] Nombre d’ingénieurs en activité par rapport à la population disponible sur le marché de l’emploi